Et je recommence pour le deuxième téton, voilà j’ai les deux tétons piercés et équipés chacun d’une boucle créole de 12mm. Content de mon « exploit », je décide de m’attaquer au piercing de mon PA. Je m’installe sur le bidet de ma chambre d’hôtel, par précaution en cas d’hémorragie, et tiens une bouteille d’eau oxygénée a porté de main au cas ou, heureusement. Je place l’aiguille à l’intérieur du méat, au contact de la muqueuse a peu près a la hauteur de la base du gland, pose une gomme blanche, désinfectée à l’alcool, sur le rebord du bidet, mon sexe dessus avec l’aiguille en place, et j’appuis pour la faire pénétrer à travers les chaires. une petite sensation de brûlure se fait sentir, mais rien de bien méchant, je regarde le résultat, l’aiguille est passer au travers de la peau et est plantée dans la gomme, que je retire doucement, çà n’a pas l’air de saigner, c’est parfait…
L’aiguille étant creuse, et le jonc de la boucle créole aussi il me faut une pièce intermédiaire pour guider la créole dans le trou…. J’avais prévu…. C’est d’ailleurs comme çà que j’avais fait pour les tétons j’ai oublié de le préciser. J’ai pris une aiguille à canevas, qui a l’avantage d’être du bon diamètre et de pas être trop pointue, je l’introduis au bout de l’aiguille hypodermique toujours en place, coté non pointu, (dont j’avais bien sur enlevé au préalable l’embout en plastique qui sert à la fixer sur une seringue) et pousse celle-ci au travers du piercing jusqu'à ce que l’aiguille à canevas prenne la place de l’aiguille hypodermique. Là problème : l’aiguille n’étant pas tout à fait du même diamètre (légèrement plus fine) le sang se mit à couler abondamment, alors je prends l’eau oxygénée et en verse abondamment dessus, ce qui a pour effet d’arrêter l’hémorragie. Je prends créole la place au bout de l’aiguille (coté de la pointe) et pousse sur l’ensemble pour que la créole prenne la place de l’aiguille. Çà se remet à saigner, je reverse de l’eau oxygénée dessus, et comme çà ne s’arrête pas tout de suite j’en mets dans un gobelet et trempe mon sexe dedans, çà mousse et après quelques minutes l’hémorragie s’arrête. Par précaution je mets une compresse stérile autour et recouvre le tout avec des serviettes en papier, et je vais me coucher.
Le lendemain, je pars au boulot, toujours avec une compresse autour du PA avec quelque serviette en papier dans la poche, et tout se passe bien jusqu’au moment ou j’ai envie d’aller aux toilettes. Là je déballe la bête, et m’aperçois que la créole à bouger, c’est à dire que le système de fermeture est passé dans les chaires. La créole étant constituée d’un jonc creux et d’un fermoir fait d’un fil aplatit à une extrémité articulée dans une chape a l’extrémité du jonc et maintenu par une sorte de rivet, l’autre extrémité du fermoir rentrant dans le jonc en écartant celui-ci. Je ne sais pas si c’est bien clair. Toujours est-il que le petit rivet, quand on passe le doigt dessus accroche légèrement. Donc voulant remettre la créole dans la bonne position, la blessure se remis à saigner, et je décide de tout enlever et serre-le tout dans ma main pour arrêter le saignement, n’ayant pas d’autre solution, étant dans les toilettes de la société ou je travail. Je me soulage quand même, l’urine étant stérile, çà aide même à arrêter le saignement. Voilà pour l’instant je me contenterai des deux tétons.

Todos os participantes devem ter pelo menos 18 anos de idade.